Comment améliorer sa communication ?

Comment améliorer sa communication ? Thérapeute à Bordeaux - Coach

Comment améliorer sa communication ?

Le sujet est sur toutes les lèvres, au bout de nos doigts, au creux de nos oreilles, devant nos yeux.

Comment améliorer sa communication ?

La parole est l’une des composantes majeures de la communication, comme l’écrit. Toute aussi importante est la communication non verbale, le langage du corps (par exemple, l’expression d’un visage, un geste qui indique souvent l’état intérieur) qui peut faire opposition en exprimant une émotion contradictoire aux mots exprimés. Par exemple, une personne dit « merci » en levant les yeux au ciel.

En tant que thérapeute en relation d’aide et coach professionnelle, la communication reste une partie intégrante des sujets travaillés lors de l’accompagnement.

En effet, une idée (ou autre) non ou mal exprimée ne sera pas utilisée au mieux : la communication fait partie du flux des richesses, contribue à l’évolution de chacun, à l’amélioration de nos relations tant dans la sphère professionnelle que privée.

La communication au quotidien interroge vraiment : combien d’entre nous sommes devenus ultra-dépendants de nos téléphones, au point d’en oublier de regarder l’autre, voire de lui parler ?

Si les outils permettent une communication en direct, instantanée, la qualité de celle-ci interroge.

Les mêmes scènes se répètent : collègues assistant physiquement à une réunion mais absorbés par le flux d’informations reçues sur leur téléphone, les amis au restaurant, tous penchés sur leur écran au détriment de la relation avec les autres, que dire quand il s’agit d’une famille. Un couple, mutique, sur des écrans séparés, avec leur bébé allongé entre eux… Pour éviter, semble-t-il d’échanger de façon authentique. Quoi de plus facile que de se réfugier derrière des mots, souvent écrits rapidement, qui isolent, éloignent, masquent.

L’écran sert d’écran aux émotions (relayées souvent par les émoji), à la véritable expression de soi, comme si ce danger pouvait être combattu par une expression indirecte. Ce filtre dédouane de la responsabilité de qui nous sommes et tend à expliquer le déferlement de la violence, de l’indifférence. En toute impunité, en totale irresponsabilité.

Nous oublions que toute communication, quelque que soit sa forme, comporte une part de vérité. Rien n’est dû au hasard, le processus de création est toujours le même : les mots pensés d’abord, écrits ou dits donnent naissance à une réalité qu’il est impossible d’effacer.

La complexité de la communication s’accroit avec la multiplicité des intervenants : « l’émetteur » et le récepteur, les intermédiaires, les spectateurs, les témoins qui assistent partiellement à cet échange. Les interprétations, jugements, les erreurs sont autant de sources d’incompréhension, de modification du message initial.

Rétablir une véritable communication, responsable.

La Communication Non Violente (CNV), tant à l’écrit qu’à l’oral, permet de ne refléter que notre point de vue sur une situation et les émotions que cela procure en nous, de réaffirmer ses besoins et d’énoncer clairement sa demande.

Afin de commencer à bien intégrer cet outil, le travail d’accompagnement par une thérapeute et coach professionnelle permet de modifier positivement sa relation avec soi-même.

Cela commence d’abord en ne parlant que de ce que nous pouvons comprendre le mieux : c’est-à-dire nous mêmes. Parler pour soi, de soi et non exposer, imposer notre vision de ce que pense, ressent l’autre.

Savoir exprimer une situation factuellement, sans interprétation.

Nous voyons souvent le monde avec nos propres yeux, selon notre « carte ».

La PNL (programmation neuro-linguistique) nous enseigne que la carte n’est pas le territoire. C’est-à-dire que notre perception de la réalité n’équivaut pas à la réalité. Tout comme un iceberg, dont nous voyons seulement la partie émergée.

Pour la bonne et simple raison qu’il nous manque un nombre important de paramètres connus et inconnus (l’autre, les situations passées, l’envers du décor) : autant d’éléments perturbateurs de notre vision. Il s’agit de relier cette situation à soi, en ayant pris soin d’analyser son ressenti, ses émotions (https://www.therapeute-coach-bordeaux.com/au-coeur-des-emotions-primaires/).

Comprendre le besoin contrarié. En effet, être en observation de soi même est primordial, comprendre ce qui nous agite, attriste, nous fait réagir. Est-ce le sentiment de vivre à nouveau un échange dangereux, une bouffée venue de notre passé, de notre enfance, notre instinct, notre humeur ?

Alors, dans la justesse, se demander la cause de notre réaction et reconnaître l’émotion qui en résulte. Ce ressenti, ce sentiment nous appartiennent et restent éminemment intimes : personne ne peut être tenu responsable (à part nous-mêmes) de ces interactions.

Comment imposer à l’autre le devoir de nous comprendre si nous sommes dans l’incapacité de la faire pour nous-mêmes ?

La Communication Non Violente (CNV) permet ainsi d’exprimer sans heurter, en restant responsable de soi et de la façon dont nous nous signifions à l’autre. En passant par 4 phases bien identifiées : l’observation des faits, l’identification des émotions, la clarification des besoins et l’énonciation de la demande.

Cela instaure une communication plus efficace au sein des couples, de la famille, avec les enfants et bien entendu, dans notre vie quotidienne et dans le monde du travail.

Pacifier, apaiser son rapport avec l’autre contribue à rendre la vie plus douce.

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– Estelle Rolland ★ Thérapeute Coach à Bordeaux

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